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Pourquoi les entreprises québécoises ont besoin d’une stratégie IA orientée ROI

Rédigé par Véronique Gauvin | Nov 27, 2025 8:23:20 PM

Au Québec comme ailleurs au Canada, l’intelligence artificielle s’impose désormais dans les discussions stratégiques des organisations. Pourtant, malgré l’intérêt croissant, peu d’entreprises québécoises obtiennent un retour d’investissement clair. Le problème n’est généralement pas technologique, il provient plutôt d’une approche trop expérimentale, qui manque d’ancrage dans les besoins réels du marché local.

Dans de nombreuses PME, municipalités, organisations publiques ou grandes entreprises du Québec, l’IA est encore explorée sous forme d’initiatives isolées, un agent conversationnel testé ici, une automatisation ponctuelle là. Le tout sans structure, sans mesure et, surtout, sans lien avec les objectifs d’affaires.

Pour transformer l’IA en avantage compétitif dans un contexte québécois, il faut sortir du mode “expérimentation” et adopter une démarche orientée vers le ROI.

Pourquoi plusieurs projets IA échouent au Québec

Les constats observés dans les entreprises québécoises sont similaires, les projets partent souvent d’un désir d’innovation, mais manquent d’alignement stratégique. On lance un POC (Proof of concept), on expérimente un outil, on teste un agent conversationnel… mais sans cadre clair.

Cela mène à des projets trop longs, peu adoptés par les équipes ou difficilement mesurables.
Dans un marché comme le Québec, où les ressources sont limitées et où la pression opérationnelle est forte, ces approches ne fonctionnent pas.

Ce ne sont pas des échecs technologiques, ce sont des échecs de méthode.

L’approche ROI-first, un impératif pour les organisations québécoises

Globalia adopte une logique directement alignée sur les réalités du marché québécois, avant d’évaluer la technologie, on identifie où l’IA peut générer le plus de valeur dans l’entreprise.

Dans des secteurs comme :

  • le manufacturier,
  • la distribution,
  • les services professionnels,
  • l’immobilier,
  • les institutions publiques,
  • le commerce de détail,
  • la construction,
  • les OBNL,

les opportunités IA sont nombreuses, mais toutes ne se valent pas.

Une stratégie orientée ROI commence donc par une analyse des irritants, des inefficiences et des processus coûteux, puis par une priorisation basée sur l’impact potentiel. C’est cette discipline qui permet aux entreprises d’ici de tirer une vraie valeur de l’IA.

Pourquoi la vitesse est cruciale au Québec

Les entreprises québécoises ont rarement le luxe de lancer des projets IA sur 6 à 12 mois. Le marché évolue trop vite, et la pression sur les équipes est trop grande. C’est pourquoi Globalia privilégie un modèle court et efficace, un Sprint IA d’environ deux semaines pour passer de l’idée à un premier prototype fonctionnel.

En moins de 10 jours ouvrables, les organisations obtiennent :

  • un cas d’usage validé,
  • un prototype IA adapté à leur réalité,
  • une estimation crédible du ROI,
  • et une analyse des gains potentiels.

Cette rapidité est essentielle dans un contexte québécois, où les ressources sont limitées, et où les directions doivent justifier leurs investissements.

Un ROI mesurable, adapté aux réalités du marché québécois

L’amélioration doit être démontrable, pas théorique. Globalia commence toujours par un point de départ mesurable, un point de référence, pour mesurer de façon transparente l’avant/après.

Les indicateurs les plus souvent utilisés au Québec :

  • heures économisées par employé,
  • réduction des délais dans les opérations,
  • diminution des erreurs ou reprises,
  • amélioration de l’expérience client,
  • optimisation des ressources dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre,
  • accélération du service ou de la production.

Ce sont des enjeux concrets pour les entreprises et les organisations d’ici, qui doivent composer avec des réalités économiques différentes du reste de l’Amérique du Nord.

Assurer l’adoption interne, un enjeu majeur au Québec

Dans de nombreuses organisations québécoises, le succès ne dépend pas seulement de la technologie, mais de la collaboration interne. Les projets IA échouent souvent faute d’adhésion des équipes.

C’est pourquoi Globalia intègre la co-création, le design UX et les tests utilisateurs dans chaque projet.

L’IA doit s’intégrer naturellement au quotidien, respecter les processus internes (souvent bien établis au Québec) et aider les équipes plutôt que de les perturber. C’est ce qui garantit un taux d’adoption élevé.

Gouvernance et responsabilité, une réalité incontournable au Québec

Les entreprises d’ici doivent composer avec des normes strictes, protection des renseignements personnels (loi 25), conformité sectorielle, souveraineté des données, rigueur éthique.

Globalia a donc établi un cadre structuré, qui répond aux besoins de conformité et de transparence des organisations québécoises :

  • supervision humaine,
  • traçabilité,
  • minimisation des données,
  • utilisation éthique,
  • hébergement dans la juridiction choisie (dont le Québec).

Ce cadre réduit les risques liés à l’IA et rassure les directions TI et juridiques.

Quand l’IA devient un investissement stratégique pour les entreprises québécoises

Lorsqu’elle est utilisée avec méthode, l’IA devient un levier de performance adapté à la réalité du Québec, rareté de main-d’œuvre, pression sur les marges, désir d’amélioration continue, et besoin de modernisation sans lourdeur technologique.

Une stratégie IA orientée ROI aide les organisations à :

  • aller plus vite,
  • réduire les inefficacités,
  • améliorer la qualité de service,
  • mieux utiliser leurs ressources,
  • se différencier dans un marché très compétitif.

C’est une approche plus réaliste, plus pragmatique… et mieux alignée avec ce que vivent les entreprises québécoises au quotidien.

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